Être vexé n’est certainement pas un phénomène inusuel pour nous. Ça se passe toujours entre deux individus ou plus. La destruction d’une relation est la ligne de fond de ce phénomène-ci, voire les relations entretenues durant très longtemps. La vie peut devenir sans vie à cause de la vexation, les pertes sans bornes.
De prime abord, nous allons voir ensemble pourquoi un individu peut être vexé. Être vexé a constamment compris deux parties: le critiqueur et le critiqué. Il nous est tous clair que la vexation se produit quand l’intention du critiqueur est en effet d’insulter le critiqué, certes. Pourtant, le côté intéressant à étudier est quand elle est l’opposée. Du côté du critiqué, la vexation se produit lorsque l’on est mentalement improvisé. Les critiques, elles ont toutes le potentiel de venir à l’improviste et beaucoup d’entre elles le font comme les marteaux frappant nos crânes, comme ça faisant apparaître la vexation.
Alors, que faire pour ne pas être vexé ? À base de mes expériences, soyez prêts tout le temps. J’ai confiance que vous êtes tous, chers lecteurs, en fait religieux. Comme ça, vous faites de la prière tous les jours. Quand vous en faites, demandez à Dieu à vous rendre toujours prêts à tout ce qui vous arrivera ce jour-là. Le reste n’est que l’affaire de découvrir la proposition. Prêtez une attention soigneuse à ce que dit le critiqueur. A-t-il l’intention de vous démonter ou de vous améliorer ? Si le premier est le cas, inutile de réfléchir à ce qu’il dit, mais si c’est le cas opposé, il faut être disposé d’accepter ses critiques sans faire plus d’attention à sa manière de vous les faire part.
Du côté du critiqueur, tout ne s’agit que de la façon de parler. Choisissez une façon de parler qui vous est pimpante, mais sans éliminer la proposition (la critique que vous souhaitez faire part à votre interlocuteur). Les critiqueurs, je les divise en deux groupes: les bons et les mauvais. Les derniers, eux, ne sont pas coquets. En dépit de leur formation, ils parlent comme si ils n’avaient fréquenté aucune école (c’est-à-dire, incontrôlable). Les premiers, en revanche, ils sont tous les contraires. Ils sont coquets. Certains d’entre eux réussissent à nous montrer que leur façon de communiquer reste bien préservée malgré leur formation. Lorsqu’ils ont envie de critiquer quelqu’un, ils disent “Est-ce que je pourrais parler avec vous pour un instant, s’il vous plaît ?”, “J’ai quelque chose (important) à vous dire. Est-ce que vous avez deux minutes ?”, “J’ai quelque chose à vous dire, mais (j’ai bien peur) ce n’est pas être facile.”, etc. comme les signes verbaux. En effectuant cela, ils préparent leur interlocuteur mentalement de ce qu’ils vont dire. Pourtant, je peux vous partager tous un astuce dans cette affaire-ci: évitez de blâmer votre interlocuteur. Les phrases comme “Vous n’auriez pas dû le faire !”, “Vous auriez dû faire mieux !”, “Vous n’avez pas fait de votre mieux !”, etc. ont toutes un point commun, c’est qu’elles blâment et une fois elles se disent, non seulement votre proposition de corriger l’interlocuteur ne se fait pas part à lui, mais aussi le rendant penser négativement à vous (“Et vous, comme si vous auriez fait mieux que moi.”, “Que savez vous ? Regardez-vous avant me critiquer !”, pire, voire vous maudire), de là dégradant son respect de vous. Donc, quoi dire ? Premièrement, je vous conseille de comprendre votre interlocuteur (même de lui faire un compliment, si vous voulez) et puis, de le corriger. Vous pourriez donc dire quelque chose tel que, “OK, je vois que c’était votre manière de présenter, mais vous auriez pu faire [ceci], [ceci] et [ceci] plus intéressant.”, “C’est bien que vous ayez tenté, mais vous pourriez mieux faire [ceci] la prochaine fois.”, “J’ai bien appris que vous avez [fait cela], mais je souhaite vraiment que vous ne l’auriez pas fait, parce que […].” Certaines personnes ont du mal à accepter les critiques et certaines d’entre elles n’aiment même pas d’être critiquées. Alors, comment surmonter ce problème-ci ? Il y a deux choses changeant quand on se fait critiquer: son expression faciale et son langage corporel. Observez-les attentivement et dès que l’un d’entre eux change aigrement, vous feriez mieux conclure votre critique en la résumant. Et s’il s’avère que l’on est vexé ? Eh bien, ce n’est qu’un accident, certes, tant que vous êtes persuadé que vous avez eu une bonne intention et que vous avez opté la bonne méthode de faire part votre message. Continuez de lui être amicale et vous verrez que le temps guérit tout (on a raison).
Enfin de compte, on dit qu’il est facile de se faire des ennemis, mais qu’il est, au contraire, difficile de faire des amis. Une relation, quelle que soit la forme, n’a aucun besoin de se faire rompre, voire détruire, à cause de la vexation. Ce qui compte, c’est que l’on a une bonne intention de corriger autrui et que les deux parties connaissent ‘l’essai de correction’. J’ai confiance en moi que tous les être-humains aiment leur vie et que nous voulons tous la garder et la préserver le long possible. Nous en sommes tous bien conscients. Donc, pourquoi la rapetisser par la vexation ? On nourrit sa vie et la vie lui dépend, par conséquent et vous le savez bien.